Le girl power m’a amené à m’intéresser à ce que font les femmes entrepreneures.
Parmi elles, il y a celles qui ont un business modèle viable d’autres, on est obligé de les mettre en relation avec des sachants pour que le business leur rapporte de l’argent. Les business qui nourrissent leurs propriétaires ne sont pas trop nombreux . Ceci est du au fait que la passion, la structuration et la formalisation, donnent un cocktail pas souvent agréable.
Les femmes elles mêmes s’enferment dans du petit alors qu’elles font des choses grandioses. Elles aiment souvent précéder de leurs réponses de l’expression « un petit » quand tu leur demandes ce qu’elles font comme activité comme « je fais un petit business de cosmétique » Les femmes entrepreneures qui réussissent plus sont celles aussi qui ont eu des études poussées, ca aussi il faut l’avouer (nuancer cette affirmation, mais c’est une réalité).
Nous allons faire une série d’articles sur des modèles de référence, qui n’ont pas peur de s’attaquer à des secteurs jadis occupés par les hommes. Ces modèles comme Kalista Sy même étant performante vous avez toujours besoin d’accompagnement.
Mariame Seck même étant très expérimentée dans l’immobilier vous avez toujours besoin du sang neuf et d’être boostée pour votre série A.
Nous aurons un dernier article avec Maimouna Dembele Back-again spécialiste de la communication, du sport et de l’industrie créative, mais pour parler du pivot et du brand stretching, il y a toujours des gens comme Olabissi Adjovi, Abd’Allah Thiam qui devront intervenir …